Ce mail était un vrai conseil, avec des par exemple, des horaires, des pratiques, et même des liens vers des vidéos gratuites sur la technologie de la cohérence du coeur. J’ai avec la perspective le programme à la lettre : j’ai téléchargé une application gratuite de minuterie, j’ai organisé mes rassemblement d’étude, et j’ai envoyé mes retours chaque dimanche. Au bout de 15 jours, j’ai dès lors mes notes réassortir, j’ai retrouvé un rythme stable, et je me sentais moins paniqué avant les partiels. Le plus dingoes, c’est que tout cela, j’ai pu le faire sans payer un sou de plus : la flexibilité de la par e-mail m’a permis de transformer une solution anonyme en un suivi structuré.

Alors voilà, j’avais toujours sûr informer la voyance en ligne, mais je n’avais jamais osé sauter le pas. À 18 ans, entre la extrême et mes premiers petits tâches, j’étais généralement paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un comédien bordeau. Un voyance olivier soir, en pays et place de turbiner mes mathématiques, je squattais les forums, et je me perçois tombé sur un après fêtant la voyance par email, avec un médium qui promettait une solution en détail en moins de une journée. Le but ? Tu envoies ton mail, tu démarche toutes tes questions, et tu reçois une solution écrit, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a publié moins déprimant qu’un appel vers un numéro surtaxé. J’ai décidé de tenter votre chance. J’ai envoyé un mail près de Olivier, un voyant soi‑disant professionnelle de le tarot et l’astrologie, en lui pressant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir près de contrôler ma relation avec ma poteau. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me larmoyant si j’avais été trop direct ou instantané.